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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 16:39

D'ordinaire c'est Hitchcock qui fait les films. Mais voilà bien longtemps qu'il est décédé. Pourtant il est resté dans les mémoires et ses films aussi. C'est pourquoi Sacha Gervasi a décidé de lui consacrer un film.

hitchcock-film.jpgUn film sur la vie d'Hitchcock

 

Dans le film, Alfred Hitchcock, réalisateur reconnu et admiré, surnommé « le maître du suspense », est arrivé au sommet de sa carrière. A la recherche d'un nouveau projet risqué et différent, il s'intéresse à l'histoire d'un tueur en série. Mais tous, producteurs, censure, amis, tentent de le décourager. Habituée aux obsessions de son mari et à son goût immodéré pour les actrices blondes, Alma, sa fidèle collaboratrice et épouse, accepte de le soutenir au risque de tout perdre.
Ensemble, ils mettent tout en œuvre pour achever le film le plus célèbre et le plus controversé du réalisateur : PSYCHOSE. Tel est le scénario du film.

 

Qui était Hitchcock

 

Alfred Hitchcock fut un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste.  Alfred Joseph Hitchcock est né le 13 août 1899 à Leytonstone au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis. Hitchcock a commencé par le cinéma muet avant de se mettre au sonore. Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise 53 longs métrages. Certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art. Notons par exemple quelques titres célèbres du cinéma : Les 39 MarchesLes EnchaînésFenêtre sur courSueurs froidesLa Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.

Psychose d'Hitchcock

C'est sur Psychose que se concentre le film sur la vie d'Hitchcock. Le cinéaste était doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion et Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables et les plus connues à travers le monde.

Après avoir vu ses films, il était temps qu'on lui en consacre un et que le public aille voir le film de la vie d'Hitchcock, le 6 février prochain dans les salles et ci-dessous la bande annonce.

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 12:03

C'est un monstre du cinéma américain qui s'attaque à un monstre de l'histoire des Etats-Unis et de la politique américaine. Une belle rencontre, un beau film.

Lincoln-de-Steven-Spielberg.jpgSteven Spielberg et Daniel Day Lewis

 

Avec son dernier long métrage, le cinéaste mondialement connu et reconnu, Steven Spielberg se mesure au mythique président américain. Comme à son habitude, Steven Spielberg a eu recours pour incarner Lincoln à un acteur confirmé mais pas à une star. Steven Spielberg dirige en effet l'acteur deux fois oscarisé Daniel Day-Lewis dans le rôle-titre de LINCOLN, un film qui éclaire les derniers mois tumultueux du mandat du 16e Président des États-Unis. Dans un entretien pour Le Point, Steven Spielberg aurait indiqué que Lincoln est son film où la caméra est la moins présente.

 

Steven Spielberg : L'histoire de Lincoln

 

Steven Spielberg s'attache donc à l'histoire d'un grand président américain du 19e siècle, celui de la guerre de sécession et de l'esclavage. Dans une nation déchirée par la guerre civile et secouée par le vent du changement, Abraham Lincoln met tout en œuvre pour résoudre le conflit, unifier le pays et abolir l'esclavage. Cet homme doté d'une détermination et d'un courage moral exceptionnels va devoir faire des choix qui bouleverseront le destin des générations à venir. Aujourd'hui encore, chaque enfant américain doit savoir qui est Abraham Lincoln.

 

Un film historique de Steven Spielberg

 

Film historique, le film n'en est pour autant pas ennuyeux. Fort de son expérience, Steven Spielberg sait faire du cinéma et coller le spectateur à son siège. Jamais sans doute Spielberg n'aura abordé un personnage avec autant d'ambition. A 65 ans, Steven Spielberg s'est enfin senti assez mûr pour se mesurer au great man des États-Unis. Steven Spielberg exploite tous les aspects de Lincoln, le président, mais aussi l'époux et le père, et réussit comme à son habitude un étonnant tour de force : rendre passionnant l'épisode complexe de l'adoption du treizième amendement sur l'abolition de l'esclavage. Un moment clé de l'histoire des États-Unis qui se joue sur fond de guerre de Sécession et de marchandages parlementaires homériques. Un nouveau Steven Spielberg à aller voir. Ci-dessous la bande annonce.

Vidéo sponsorisée

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 10:01

Oscars.jpgAprès la cérémonie des Golden Globes aux Etats-Unis, sorte de répétition générale pour les Oscars, la chaîne des films classiques TCM entreprend de se pencher sur l'histoire de la grande cérémonie des Oscars. Au programme, retour sur les grands films récompensés par les Oscars.

La cérémonie des Oscars

Toujours glamour malgré ses 85 printemps, la vénérable institution des Oscars est souvent taxée de conformisme. Un procès que TCM instruit à décharge en programmant une sélection de films qui ont eu les honneurs de l’Académie sans pour autant correspondre aux standards de l’industrie hollywoodienne. 

Depuis que les Oscars existent, on a coutume de leur reprocher un certain… académisme. Une propension à ne sacraliser que les films typiquement hollywoodiens qui jouent avant tout la carte du grand spectacle. Mais comme en témoignent les quelques œuvres sélectionnées par TCM, les détracteurs ont tort !

Les grands films des Oscars

Avec son souffle épique et ses images en technicolor, Lawrence d’Arabie, honoré par sept statuettes, pourrait parfaitement correspondre au prétendu profil type du vainqueur… à ce détail près qu’il ne s’agit pas d’un film made in Hollywood mais 100% britannique ! Quant à West Side Story, ses dix Oscars pourraient trahir une tendance à favoriser la comédie musicale, genre typiquement hollywoodien, sauf qu’à sa sortie, en 1961, son réalisateur Robert Wise en a transgressé les codes en tournant de nombreuses scènes en extérieurs et surtout en traitant d’un sujet à résonance sociale : celui des gangs de New York !

Faute de grand spectacle, ce sont également aux comédies romantiques, autre spécialité d’Hollywood, que les mauvaises langues reprochent de rafler les statuettes. Un joli couple, une belle idylle, des dialogues enlevés, et le tour est joué. Sauf que Kramer contre Kramer, avec ses cinq trophées, dont celui du meilleur acteur, du meilleur scénario et du meilleur réalisateur a contredit cette idée reçue en recueillant tous les honneurs alors qu’il traitait du sujet inverse : les affres du divorce ! Quant à Pour le pire et pour le meilleur (deux Oscars et sept nominations) c’est effectivement une comédie romantique, mais avec un humour radicalement décalé et des tourtereaux qui ne sont pas des perdreaux de l’ann&eac ute;e, surtout Jack Nichols on, quasi sexagénaire à l’époque du film !

Consensuels les Oscars? 

Consensuels les Oscars ? C’est aussi sur ce terrain qu’ils sont parfois critiqués. Pourtant, dans son JFK, Oliver Stone remet en cause la thèse officielle de l’assassinat du Président Kennedy, ce qui ne l’a pas empêché de récolter deux Oscars et huit nominations ! Plus risqué encore, le pari de Jonathan Demme qui a osé aborder dans Philadelphia le thème du sida, encore largement tabou en 1993, et n’en a pas moins recueilli 5 nominations, notamment pour le meilleur acteur et le meilleur scénario, avec à la clé une statuette pour Tom Hanks, courageux interprète du héros victime de la maladie ! 

Bref, les exemples ne manquent pas pour battre en brèche les accusations de conformisme contre l’Académie. Et pour nourrir ce plaidoyer, on peut  aussi inverser la démonstration en évoquant La Tour Infernale. Ultra spectaculaire, superbement réalisé et doté d’un casting truffé de légendes d’Hollywood, ce blockbuster pouvait prétendre à une pluie d’Oscars majeurs, mais il a dû se contenter de trois trophées mineurs, ce qui, en rapport des attentes de l’équipe du film, s’est avéré… catastrophique !  

PROGRAMMATION du CYCLE des Oscars

JEUDI 07 FEVRIER

20.40  Pour le pire et le meilleur (1997)HD INEDIT„

(As good as it gets), de James L. Brooks, avec Jack Nicholson et Helen Hunt

7 nominations dont 2 Oscars (Meilleur acteur, Meilleur actrice)

22.55  Kramer contre Kramer (1979) HD„

(Kramer vs. Kramer), de Robert Benton, avec Dustin Hoffman et Meryl Streep

9 nominations dont 5 Oscars (Meilleur film, meilleur acteur et actrice second rôle, meilleur réalisateur, meilleur scénario)

 

JEUDI 14 FEVRIER

20.40 La Tour infernale (1974) HD„

 (The Towering inferno), de John Guillermin, avec Steve McQueen et Paul Newman

8 nominations dont 3 Oscars (Meilleur photographie, meilleur montage, meilleure musique)

 

JEUDI 21 FEVRIER

20.40 West Side Story (1961) HD„

(West side story), de Robert Wise et Jerome Robbins, avec Natalie Wood et George Chakiris

11 nominations dont 10 Oscars (Meilleur film, meilleur acteur second rôle, meilleure actrice second rôle, meilleur réalisateur, meilleurs décors, meilleure photographie, meilleurs costumes, meilleur montage, meilleure musique, meilleur son)

 

JEUDI 28 FEVRIER

20.40 Philadelphia (1993) HD INEDIT„

(Philadelphia), de Jonathan Demme, avec Tom Hanks et Denzel Washington

5 nominations dont 2 Oscars (Meilleur acteur, meilleure musique)

 

WEEK-END SPECIAL

SAMEDI 23 FEVRIER

16.40  Pour le pire et le meilleur (1997)HD INEDIT„

(As good as it gets), de James L. Brooks, avec Jack Nicholson et Helen Hunt

18.55  Kramer contre Kramer (1979) HD„

(Kramer vs. Kramer), de Robert Benton, avec Dustin Hoffman et Meryl Streep

20.40  Lawrence d’Arabie – version restaurée (1962) HD„

(Lawrence of Arabia), de David Lean, avec Peter O’Toole et Omar Sharif

10 nominations dont 07 Oscars (Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleure photographie, meilleurs décors, meilleur montage, meilleure musique, meilleur son)

 

DIMANCHE 24 FEVRIER

15.30 La Tour infernale (1974) HD„

 (The Towering inferno), de John Guillermin, avec Steve McQueen et Paul Newman

18.10  West Side Story (1961) HD„

(West side story), de Robert Wise et Jerome Robbins, avec Natalie Wood et George Chakiris

20.40  JFK – director’s cut (1991) HD INEDIT TV„

(JFK), de Oliver Stone, avec Kevin Costner et Gary Oldman

08 nominations dont 02 Oscars (Meilleure photographie, meilleur montage)

 

 

DMANCHE 24 FEVRIER A 07h00  EN DIRECT

FILM INDEPENDENT’S SPIRIT AWARDS 2013

En bonus du cycle Oscars, TCM vous proposera de vivre en direct de Santa Monica, la cérémonie des Spirit awards. Chaque année depuis 1986, à la veille des Oscars, l’organisation Film Independent récompense au cours de cette soirée le meilleur du cinéma indépendant.

Après le triomphe de the Artist l’année dernière, la France sera une nouvelle fois bien placée puisque représentée par deux films dans la catégorie du meilleur film étranger :Amour, de Michael Haneke, interprété par Isabelle Huppert et De rouille et d’os réalisé par Jacques Audiard, avec Marion Cotillard. Les grands gagnants des nominations, avec cinq chacun sont, Happiness Therapy de David O. Russell et Moonrise Kingdom de Wes Anderson 

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 15:02

Avec Citizenkane.fr

leo-di-caprio.jpgEt pourrait pour ce faire, arrêter le cinéma et les tournages… Pour quelques mois, rassurez-vous. Leonardo Di Caprio veut prendre quelques mois de congés pour se consacrer à la planète et à l'environnement. On devrait toutefois encore le voir au cinéma dans quelques films.

 

Leonardo Di Caprio a toujours été un peu écolo

 

On savait déjà qu'il avait un certain goût pour les voitures de luxe qui consomment moins, mais la star de Django Unchained a décidé de se consacrer davantage à la planète et à l’environnement. "Je suis quelque peu épuisé. Je vais prendre une longue, longue pause à présent", a-t-il déclaré au quotidien allemand Bild. J’ai fait trois films en deux ans et je suis juste éreinté. J’aimerais améliorer le monde- un peu. Je traverserai le  globe en multipliant les bonnes actions pour l’environnement".

 

Leonardo Di Caprio pour l'environnement et les animaux

 

Leonardo a donc décidé de faire comme Angelina, la femme de son copain Brat et de parcourir le monde et d'aider un peu ici et là. La dame avait commencé par faire des films en Afrique, qui parlaient d'organisation humanitaires, de la guerre, de la souffrance des enfants. Leonardo Di Caprio a préféré Titanic, Shutter Island et Django Unchained. N'ayant pas le profil pour faire les films d'Angelina, il se lance dans l'aide environnementale dans la réalité, et tant pis pour le cinéma. Toutefois à noter par le passé, sa production d'oeuvres engagées comme la série TV, Greensburg et en 2007 l'écriture du scénario et la production de La 11e Heure. Ce documentaire écolo évoquait l'écosystème et était une sorte d'avertissement. Leonardo Di Caprio compte également produire un film dénonçant le trafic d'animaux sauvages avec son ami d'enfance Tobey Maguire, mais rien ne dit qu'il jouera dedans. Officiellement, il n'a donc plus de tournage de prévu jusqu'à nouvel ordre.

Leonardo Di Caprio au cinéma prochainement

 

On verra toutefois encore Leonardo Di Caprio sur le grand écran pour un moment : l’acteur de 38 ans a tourné trois films dont Django Unchained et les deux longs-métrages à venir : Gatsby Le Magnifique (Baz Luhrmann) et Le Loup de Wall Street (Martin Scorsese). A tel point qu'en quelques mois, on ne remarquera peut-être même pas son absence. L'acteur a toutefois toujours été concerné par la cause de l'environnement, – essayant de convaincre ses amis de faire des donations pour l’environnement comme lui ou bien encore signant de gros chèques d'un million de dollars à la WWF chaque année.

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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 12:07

King-Kong.jpgÀ l’occasion du 80anniversaire de la sortie au cinéma de King Kong, film emblématique de la RKO, TCM rend hommage à ce studio culte en soumettant aux téléspectateurs une sélection de ses fleurons et en les laissant décider de la programmation !

King Kong et les duels 

D’ordinaire, rien n’est plus fermé que la grille d’une chaîne de télévision. D’où la démarche originale de TCM qui a décidé de l’ouvrir en donnant l’occasion aux téléspectateurs de choisir leur programmation ! Une parenthèse de liberté et d’interactivité qui durera pendant tout le mois de mars. Les téléspectateurs auront ainsi la possibilité de choisir 2 films à programmer chaque samedi de mars en première et deuxième partie de soiréeCitizen Kane ou La Splendeur des Amberson ? Dans cette question réside tout l’esprit du concept proposé par TCM aux fans de grand cinéma. Entre ces deux chefs-d’œuvre tournés par Orson Welles pour la RKO, lequel voir ou revoir ?

King Kong, Alien ou des Westerns

On pourra aussi choisir entre western ou terreur avec La Captive aux yeux clairs, monument de Howard Hawks, et La Chose d’un autre monde, film culte qui inspira notamment Alien.

Quant à Katharine Hepburn, l’actrice la plus emblématique de la RKO, deux de ses films majeurs seront proposés : L’Impossible Monsieur Bébé, classique de la « screwball comedy »*, ou Sylvia Scarlett avec sa prestation époustouflante dans le rôle d’un homme.

Pour participer à cette opération inédite proposée en partenariat avec CanalSat, rien de plus simple, il suffira aux téléspectateurs de voter, à partir du 20 février, sur la page Facebook de TCM.

Avec en tout 10 choix passionnants entre deux films qui ont chacun leurs arguments. Qui en sortira vainqueur ? Difficile à pronostiquer, mais d’ores et déjà on peut prédire que le grand gagnant sera… le GRAND cinéma !

Fêter King Kong en film

LES DUELS

 

2 mars 2013

20.40 Citizen Kane ou La Splendeur des Amberson

22.40 Les Amants de la nuit ou Elle et lui

 

9  mars 2013

20.40 Ciel Rouge ou Le Massacre de Fort Apache

22.50 La Captive aux yeux clairs ou La Chose d'un autre monde

 

16 mars 2013

20.40 Un si doux visage ou Nous avons gagné ce soir

22.15 Le Mouchard ou Vivre libre

 

23 mars  2013

20.40 Les Diables de Guadalcanal ou Days of Glory

22.20 La Féline ou Vaudou

 

30 mars  2013

20.40 L'Impossible Monsieur bébé ou Sylvia Scarlett

22.25 Le Danseur du dessus ou Dance, girl, dance

 

* La « Screewball Comedy »  est un sous genre loufoque des comédies Hollywoodienne, typique des années 30-40, qui fonctionne sur des situations souvent absurdes. 

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11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 09:45

Abraham-Lincoln-copie-1.jpgDécouvrez une soirée Spéciale Présidents sur TCM, la chaîne des films classiques, vendredi 1er février dès 19.40 avec un documentaire inédit et deux films sur les présidents américains.

Lincoln : l'un des plus grands présidents

A l’occasion de la sortie, le 30 janvier, du nouveau film de Steven Spielberg, Lincoln, consacré à la vie de l’ancien président des Etats-Unis et interprété par Daniel Day Lewis, TCM vous propose une soirée 100% présidents avec notamment le director’s cut de JFK. Cette version allongée de 17 minutes n’a encore jamais été vue à la télévision.

Hollywood et les présidents américains 

En préambule vous découvrirez le nouvel épisode de la collection Une Nuit au cinéma, produite par TCM et dirigée par Laurent Bouzereau qui revient sur les liens entre Hollywood et le monde politique. Pour clôturer cette soirée et faire écho au nouveau film de Spielberg, TCM diffusera leAbraham Lincoln de John Cromwell qui reste une référence du genre.

Soirée Lincoln, soirée Présidents : Programme

19 40 Une Nuit au cinéma : Hollywood au Sénat (2012) INEDIT TV  „

(Night at the movies: Hollywood goes to Washington), Production TCM et Amblin Television, de Laurent Bouzereau, avec Oliver Stone, Rob Reiner, Fred Thompson,…

 

20.40  JFK – director’s cut (1991) HD INEDIT TV„

(JFK), de Oliver Stone, avec Kevin Costner et Gary Oldman

 

00.00  Abraham Lincoln (1940) Â„

(Abe Lincoln in Illinois), de John Cromwell, avec Raymond Massey et Gene Lockhart

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 14:04

django-unchained-quentin-tarantino-copie-1.jpgSoirée spéciale Django sur TCM le 16 janvier dès 20.10 à l'occasion de la sortie cinéma de Django Unchained par Quentin Tarantino.

Spécial Django pour Django Unchained de Tarantino 
À l’occasion de la sortie en salles du nouveau film de Quentin Tarantino Django Unchained, le 16 janvier prochain, TCM vous invite, chaque mercredi de janvier, à faire un tour du genre avec une sélection de films majeurs et une soirée spéciale Django accompagnée d’une interview du réalisateur.

Sous Influence : Quentin Tarantino

2008, Documentaire de Robert Trachtenberg avec Quentin Tarantino

Plus volubile que jamais, Quentin Tarantino déclare sa flamme pour les séries B de tous les genres (horreur, western, films « blaxploitation », polar hongkongais) et parle de ses héros (Judy Garland, Aldo Ray, Ralph Meeker, Jean Arthur)

Du classicisme de John Ford à l’ultra violence de Sam Peckinpah, en passant entre autres par le fameux style spaghetti, le western a connu de nombreux avatars.  Dans le western, les films n’ont en commun que les chevaux, les colts et les saloons ! Pour le reste, tout varie selon les écoles qui se sont succédées au fil des époques et des cinéastes. Avec de nettes différences qui touchent autant à l’esthétisme qu’à la psychologie des protagonistes, voire même à la lecture morale ou politique de la mythologie de l’Ouest. D’où la multiplicité des codes qu’a engendré ce genre à part.

Django Unchained de Quentin Tarantino, à voir absolument

Quentin Tarantino apporte aujourd’hui sa pierre à l’édifice avec son Django Unchained dans lequel il s’amuse avec jubilation à revisiter les codes du western. Django est un personnage récurrent du western spaghetti apparu en 1966 devant la caméra de Sergio Corbucci. Il est le plus souvent un homme solitaire qui vient s’interposer entre deux bandes rivales. Il parle peu, mais tire beaucoup et bien! Les films se distinguent entre autres choses, par leur violence crue et exacerbée.Une facette de plus pour un genre qui ne cessera sans doute jamais d’inspirer les cinéastes !

PROGRAMMATION WESTERNS MYTHIQUES

Mercredi 9 janvier

20.40 La Horde sauvage  -  HD INÉDIT

(The Wild bunch), 1969 de Sam Peckinpah, avec William Holden et Robert Ryan

 

Mercredi 16  janvier : SOIRÉE DJANGO à l’occasion de la sortie en salles de Django Unchained de Quentin Tarantino

 

20.10 Sous Influence : Quentin Tarantino

 

20.40 Poker d’as pour Django

(Le due face del dollaro) 1967 de Roberto Bianchi Montero, avec Maurice Poli et Jacques Herlin

22.10 Django tire le premier

 (Django spara per primo) 1966 d’Alberto De Martino, avec Glenn Saxson et Fernando Sancho

 

Mercredi 23 janvier

20.40 Rivière sans retour  -   HD

(River of no return), 1954 d’Otto Preminger, avec Robert Mitchum et Marilyn Monroe

 

Mercredi 30 janvier

20.40 Règlement de comptes à O.K. Corral   -  HD INÉDIT

(Gunfight at the O.K. Corral), 1957 de John Sturges, avec Burt Lancaster et Kirk Douglas*

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 10:47

John-Boorman.jpgLa Chaîne classique TCM présente un CYCLE JOHN BOORMAN en partenariat avec le Festival Premiers Plans d’Angers (18 au 27 janvier)

Le programme John Boorman sur TCM

Un film chaque jeudi de janvier, dont quatre en copies HD NATIVE INÉDITES. Un documentaire INÉDIT TV sur le cinéaste, réalisé par sa fille et présenté au Festival de Cannes 2012.

Malgré une œuvre majeure qui compte entre autres quelques films cultes comme Délivrance, Excalibur ou La Guerre à sept ans, John Boorman, qui fête ses 80 ans, n’a pas l’aura d’un grand cinéaste aux yeux d’une grande partie du public. Une injustice que TCM s’emploie à réparer en programmant, à l’occasion de l’hommage qui lui sera rendu au Festival Premier Plan d’Angers (du 18 au 27 janvier), une sélection de films indispensables et un documentaire réalisé par sa fille et présenté lors du dernier Festival de Cannes.

John Boorman : un classique du cinéma

On peut avoir signé des classiques du cinéma, aussi connus du grand public que vénérés par les amateurs éclairés sans pour autant voir son nom briller au firmament du 7e Art. C’est le cas, entre autres, de John Boorman, dont le patronyme est moins associé à ses films que des réalisateurs stars comme Steven Spielberg, Martin Scorsese ou Quentin Tarantino. Délivrance a beau faire partie des must inusables, vus et revus avec un bonheur égal par les fans de cinéma, le nom de son auteur, qui a décroché deux Palmes du meilleur réalisateur est nettement moins populaire, même si on lui doit d’autres films cultes, dont l’envoûtant Excalibur.

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir développé depuis le début de sa carrière, à la fin des années 60, un style et un propos personnels et cohérents, comme tout grand cinéaste qui se respecte. Car outre la puissance visuelle et l’audace narrative qui caractérisent l’ensemble de son œuvre, John Boorman a exploré inlassablement le même thème, celui de la quête initiatique, moteur qui anime tous ses personnages, des apprentis aventuriers de Délivrance au médecin humanitaire de Rangoon, en passant évidemment par le Roi Arthur dans Excalibur. Une obsession qui aurait d’ailleurs pu aboutir une adaptation du Seigneur des Anneaux, bien avant la trilogie de Peter Jackson, si ce projet n’avait pas capoté !

Voilà qui ne surprend pas quand on connaît le goût prononcé de John Boorman pour l’onirisme, voire la spiritualité, et sa propension à montrer une réalité sublimée, notamment lorsqu’il filme la nature. Avec en parallèle une fascination pour une violence brute à laquelle se heurtent ses personnages au cours de leur quête, à moins qu’ils n’en soient les acteurs comme le truand placide du Point de non retour  dont la soif de vengeance se pare d’une dimension presque sacrée. Une violence encore plus traumatisante quand c’est celle des bombardements nazis vus à travers les yeux du gamin de La Guerre a sept ans, et encore plus émouvante quand on sait que John Boorman, aujourd’hui octogénaire, y livre ses souvenirs d’enfance. Un chef-d’œuvre, sans doute son plus grand, qui témoigne à lui seul du génie de ce cinéaste discret qui n’a ignoré qu’une seule quête, celle de la célébrité.

John Boorman sur TCM et au Festival Premiers Plans d’Angers

Une injustice que TCM s’emploie à réparer en programmant, à l’occasion de l’hommage qui lui sera rendu au Festival Premiers Plans d’Angers (du 18 au 27 janvier), une sélection de films indispensables et un documentaire INÉDIT TV, réalisé par sa fille et présenté à Cannes Classic lors du dernier Festival de Cannes.

A propos du Festival Premiers Plans d’Angers (18 au 27 janvier)

En se consacrant à la découverte de nouveaux talents du cinéma européen et en faisant découvrir le patrimoine cinématographique européen depuis 1989, le Festival Premiers Plans d’Angers est devenu un rendez-vous emblématique, reconnu par les professionnels, suivi par  un public nombreux et curieux et soutenu par de nombreuses personnalités.

Rétrospective John Boorman pendant le Festival

En présence de John Boorman, Katerine Boorman et Michel Ciment.

Réunir les films du réalisateur britannique, c’est explorer une grande diversité  d’univers et de genres. De la science-fiction à la fresque légendaire médiévale, du film noir californien à la chronique d ‘un enfant sous le bombardement de Londres, John Boorman a développé une œuvre fascinante et protéiforme, ponctuée de films cultes, audacieux ou parfois mystiques, spectaculairement habitée par la nature et le merveilleux.

PROGRAMMATION du CYCLE SUR TCM

JEUDI 03 JANVIER

19.35  John Boorman, mon père et moi (2012)„

(Me and me dad), documentaire de Katrine Boorman, avec Katrine Boorman et John Boorman

20.40  Excalibur (1981) HD INEDIT„

(Excalibur), de John Boorman, avec Nigel Terry et Helen Mirren

JEUDI 10 JANVIER

20.40  Rangoon (1995) Â„

(Beyond Rangoon), de John Boorman, avec Patricia Arquette et Frances McDormand

JEUDI 17 JANVIER

20.40  Le Point de non-retour (1967) HD„

(Point blank), de John Boorman, avec Lee Marvin et Angie Dickinson

JEUDI 24 JANVIER

20.40  La Guerre à sept ans (1987) HD

(Hope and glory), de John Boorman, avec Sarah Miles et David Hayman

JEUDI 31 JANVIER

20.40  Délivrance (1972) HD„

(Deliverance), de John Boorman, avec Jon Voight et Burt Reynolds

En complément:

Plan(s) Rapproché(s): Délivrance (1972)  Avec Arnaud Debrée

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 19:27
Le Grand Retournement est une adaptation de la pièce de Frédéric Lordon intitulée "D’un retournement l’autre - Comédie sérieuse sur la crise financière", publiée en 2011. On dit que dès sa sortie en librairie, le réalisateur Gérard Mordillat a appelé l’auteur pour qu’il ne cède ses droits à personne 
d’autre que lui. 
Edouard-Baer.jpgLe grand retournement au cinéma
Gérard Mordillat rencontrera le public Lillois à l’issue de la  projection en avant-première de Le grand retournement qui se déroulera lundi 14 janvier à 20h00 au cinéma Le Métropole.
Gérard Mordillat s’est entouré d’acteurs ayant déjà tourné dans ses précédents films, à l’instar de Franck De La Personne, François Morel ou encore Jacques Pater. 
Dans Le Grand Retournement, les personnages ne portent pas de nom. Frédéric Lordon, l'auteur de la pièce dont est tiré le film, explique : "Je voulais faire un théâtre d’archétypes, sans profondeur, sans psychologie ni états d’âme, avec des personnages réduits à l’état de simples supports des forces sociales qui s’emparent d’eux et qui parlent pour eux."

Qu'est-ce que Le grand retournement?

C’est la crise, la bourse dégringole, les banques sont au bord de la faillite, le crédit est mort, l’économie se meurt… Pour sauver leurs mises les banquiers font appel à l’État. L’État haï est soudain le sauveur ! Les citoyens paieront pour que le système perdure, que les riches restent riches, les pauvres pauvres. La pièce d’origine de Frédéric Lordon est écrite en alexandrin, un exercice difficile pour des comédiens peu expérimentés. Heureusement, une partie du casting de Le Grand Retournement est habituée à se produire sur les planches, à l’image d’Edouard Baer et de Jacques Weber. C’est tragique comme du Racine, comique comme du Molière…
Avant Le grand retournement
Les prises de vue ont été effectuées à Aubervilliers, dans une usine. Le décor d’une zone industrielle à l’abandon renvoie aux conséquences néfastes de la crise financière. Gérard Mordillat avait déjà tourné une scène dans ce lieu en 2011 pour le téléfilm Les Cinq Parties du monde
Le Grand Retournement marque la quatrième collaboration de Jacques Weber avec François Morel, après HH, Hitler à Hollywood en 2010, Que la lumiere soit en 1997 et Beaumarchais, l'insolent en 1996. 
Le film comporte également des images d’archives qui viennent créer un contraste entre l’intrigue du film et l’époque précédant la crise financière. Gérard Mordillat explique ce choix de mise en scène : "Ce sont peu de plans mais ils nous ancrent de façon certaine dans le réel, dans le ici et maintenant. Le film n'est pas un conte philosophique ni un exercice de style, c'est un essai critique très radical sur le fonctionnement du capitalisme, sur ses dérives, sur les catastrophes que provoque la quête éperdue du profit. C'est du réel, du contemporain, presque du documentaire, d'où l'appel aux archives."
Même s’ils se connaissent depuis le Conservatoire, Jacques Weber et Gérard Mordillat n’ont jamais tourné ensemble. C'est désormais chose faite pour le plus grand plaisir du réalisateur, qui précise : "Surtout que, dans le domaine de l’alexandrin, Jacques Weber est pour moi un premier violon extraordinaire."
La dégringolade des marchés survenue ces dernières années inspire bon nombre de cinéastes qui tentent de rendre compte des coulisses de la finance à travers leurs films : on compte par exemple J. C. Chandor avec Margin Call, Oliver Stone avec Wall Street : l'argent ne dort jamais ou encore Costa-Gavras avec Le Capital. 
Un film à découvrir. En revanche, on peut regretter de ne pas assez entendre ceux qui défendent le marché. Une fois encore on entend parler d'eux, mis sans entendre ceux qu'ils défendent eux aussi.
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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 19:24

Cet article est la reproduction, mise à jour, de ce que nous publiions l'an dernier sur goodnewsisrael.info. Le site ayant été en partie transféré sur lumieresdumonde.net, c'est avec plaisir que nous redécouvrons ses plus grands articles qui nous font découvrir des oeuvres de musique, de littérature et ici, de cinéma.

 

Si vous deviez citer un cinéaste israélien, qui serait-il ?

Aucun doute que vous citeriez probablement Amos Gitaï. Le plus connu en Europe, le plus invité des Israéliens, le plus chouchouté de la croisette — où il revient souvent pour ses films, de Kadosh à Kedma. Bref un cinéaste adulé en Europe et particulièrement en France, où il passa justement quelques années après la première guerre du Liban en 1982, avant de revenir en Israël en 1993. Adulé pour son art certes, mais aussi pour sa critique de la société israélienne. Car comme toute société, elle n’est pas parfaite. Elle a ses défauts et son identité. Mais serait-il juste de dire pour autant, telle une critique radicale, que son identité est son défaut ? C'est ainsi que certains peuvent voir, lire, ou comprendre les films d’Amos Gitaï, souvent sévères et presque toujours concentrés sur la société juive israélienne. En ce qui concerne les défauts en tout cas. Car Gitaï a quelque chose d’irritant pour un pays en guerre, à qui on impose, une, et des guerres. Sa critique est souvent facile, bien-pensante diront d’autres, unilatérale sans doute. Mais c’est aussi ça le cinéma! Le 7e art ou l’art de tourner en dérision sa propre société, sa propre identité et son rapport à l’Autre, aux autres, fussent-ils des ennemis!

Toutefois, on sait aussi que ce n’est pas un hasard si Amos Gitaï a tant de succès en France et en Europe, alors qu’il en a si peu en Israël. Il flatte la critique européenne d’Israël, voire sa condamnation. Dans sa trilogie sur les frontières bien sûr : Terre promise en 2004, Free zone en 2005 avec Nathalie Portman, et Désengagement en 2007 avec Juliette Binoche. Mais aussi dans ses films sur des villes israéliennes : Tel Aviv dans Devarim (Les choses), Haïfa dans Yom yom (Au jour le jour) et Jérusalem dans Kadosh (Saint). Ce dernier est un peu plus connu. que les autres sans doute. Adaptation de La répudiée d’Eliette Abécassis, il raconte d’un côté l’histoire d’une femme juive orthodoxe (hassid) répudiée à contrecœur par son mari après 10 ans de mariage sans enfant, et de l’autre celle d’une jeune fille maintenue et mariée au sein de ce même milieu orthodoxe du quartier de Mea Sharim à Jérusalem. Le film est beau, comme le roman, touchant et émouvant. Il est critique envers la tradition juive orthodoxe et la place qui y est faite aux femmes. La critique est juste et il ne s’agit pas de la remettre en cause. Mais c’est donner au public non averti une fausse image, du moins une image très partielle — et partiale — de cette communauté, de leur mode de vie et de leur philosophie, que d’en rester là. Si Amos Gitaï a un défaut, c’est bien qu’il en reste là.

Giddi-Dar.jpgD’autres donc font le reste du travail. L’année dernière, Giddi Dar, autre réalisateur israélien, bien moins connu qu’Amos Gitaï en France et en Europe, réalisait Ushpizin : une façon de désigner les invités d’une souccah, une cabane de la fête des cabanes (souccot), célébrée au début de l’année du calendrier hébraïque (septembre-octobre) en souvenir dans la tradition hébraïque, des cabanes ou tentes construites par les Hébreux lors de leur passage de 40 ans dans le désert du Sinaï, après la sortie d’Egypte. Puisque la semaine de Souccot commence dans quelques jours, l’occasion nous est faite de revenir sur Ushpizin. Un film, en apparence étrange, et critique par ce biais, représentant l’histoire d’un couple religieux orthodoxe du même quartier de Mea Sharim, face à des invités « surprise », quelque peu gênants. Sans argent et sans enfant, ce couple prie, mais prie seulement, pour passer de bonnes fêtes des cabanes. En cela on reconnaît le caractère très déterministe et inactif d’orthodoxes sans travail, ne vivant que grâce à l’aide extérieure (de riches orthodoxes parfois) et ne sachant que prier et étudier les textes de la tradition juive. Mais on découvre aussi l’hospitalité juive, l’accueil, la bonté et la volonté de rendre heureux ses hôtes, d’une façon si obstinée qu’elle en devient presque stupide. Stupide mais généreuse. Naïve mais fondamentalement bonne. Bref un film où l’on pénètre au cœur d’un milieu très différent, qui nous est étrange et étranger, mais dont on essaie de comprendre les ressorts, les bons et les mauvais côtés.

Shuli-Rand.jpg
Tourné avec la participation de nombreux orthodoxes recrutés pour l’occasion, l’acteur principal, Shuli Rand, bien qu’élevé dans une famille orthodoxe, ancien laïc, est lui-même redevenu religieux. Confronté aux deux « mondes », et acteur avant de faire Tshouva (repentance, c’est-à-dire retour à la religion) il a voulu par ce film, faire découvrir son nouvel univers. Une comédie touchante dont nous avons sélectionné quelques extraits qui permettront aussi à tous, de découvrir la fête de Souccot.

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